Guerrier de la Prière

Les apparitions de Notre Seigneur et de Notre Dame à Campinas

1929-1930, Campinas, São Paulo, Brésil

Sœur Amalia Aguirre

(1901- 1977)

La future religieuse est née à Rios, en Espagne, le 22 juillet 1901 et a reçu son baptême huit jours plus tard. Elle a fait sa Première Communion et a été confirmée dans l'Église de la Conception Immaculée à Rios où elle était déjà remarquée pour son caractère d'obéissance ; un premier signe de sa vertu. Amalia montrait alors une inclination marquée pour le bien et la charité envers les autres ainsi qu'un soin particulier des choses divines.

Une proximité avec Lui se manifestait dès son jeune âge. Jésus est devenu pour elle un grand ‘livre’ dont ses yeux ne se détournaient jamais. Sa croissance spirituelle et sa pratique de la charité lui ont été enseignées par ses parents, Andres et Emerita. Leur foyer avait été un terrain fertile où le germe de sa vocation a pu mûrir. Les parents d'Amalia ont émigré d'Espagne au Brésil à la recherche d'une vie meilleure et, après une période durant laquelle elle est restée en arrière pour s'occuper des malades lors de la Grande Pandémie de Grippe, Amalia les a rejoints le 16 juillet 1919.

La Fondation de l'Institut

À la fin des années 1920, Amalia s'est impliquée dans une Association des Missionnaires du Jésus Crucifié. Elle était inspirée et fortement identifiée à la dévotion de ce groupe pour la Passion de Jésus ainsi qu'au travail charitable. En 1928, Mgr le Comte Francisco de Campos Barreto a réuni environ huit membres de cette association, dont Amalia, qui ont ensemble fondé une Congrégation. Bien que l'Ordre soit contemplatif et actif à la fois, les membres portaient des vêtements séculiers pour être accessibles aux gens ordinaires.

Appelée à la vie contemplative et vivant le ‘Mystère Pascal’¹, le nouvel Ordre était également dédié à annoncer l'Évangile dans les endroits les plus difficiles où vivaient des personnes. À cette époque, Sœur Amalia est décrite comme ayant ce même caractère généreux et sacrificiel qu'elle montrait enfant. Elle a prononcé ses Vœux Temporaires le 8 décembre 1927 – la Fête de l'Immaculée Conception, puis exactement quatre ans plus tard, le 8 décembre 1931, elle a pris les Vœux Perpétuels.

Ainsi Amalia est devenue une religieuse consacrée à Christ et à Son Église, prenant en religion le nom de ‘Sœur Amalia du Jésus Flagellé.’ Elle a continué à vivre en communauté à Campinas jusqu'en 1953 lorsqu'elle a été transférée au Cassa de Nossa Senhora Aparecida (Maison de Notre-Dame de l'Apparition) à Taubate, São Paulo. Sa vie était dédiée aux pauvres et nécessiteux et elle développait une préoccupation particulière pour les enfants et les veuves.

À un moment donné, Amalia a reçu une vision dans laquelle elle voyait une maison qui devait être construite pour offrir refuge aux enfants pauvres, et elle s'est immédiatement engagée à réaliser ce projet. Elle a commencé par chercher à aider vingt enfants pauvres qu'elle nourrissait. Ainsi le travail a débuté et se poursuit jusqu'à aujourd'hui. La vision d'une ‘maison de sécurité’ est finalement devenue réalité en 1969 lorsqu'un foyer pour enfants a été ouvert dans le village de Saint-Gérald.

La graine avait été plantée et arrosée par sacrifice; elle était maintenant vue fleurir. Ici, les enfants pourraient recevoir une instruction, être nourris, vêtus et couverts de châles. La couture, l'hygiène et l'éducation religieuse étaient enseignées et la maison s'est agrandie grâce à la générosité manifestée par de nombreux bienfaiteurs. Bien qu'Amalia ne puisse voir le travail achevé car elle est décédée en 1977, de nouvelles terres ont été acquises et une grande Maison de Sœur Amalia a été ouverte le 18 juin 1981.

L'amour pratique de cette religieuse continue à porter ses fruits lorsque, en 2001, à l'occasion de l'anniversaire de sa naissance, un centre pour alcooliques a été ouvert. Mais d'une autre manière, son don à toute l'Église ne commence qu'à être découvert, car les événements qui se sont produits peu après qu'elle ait rejoint l'Ordre ont conduit à une belle dévotion qui continue de se répandre dans l'Église.

I. La Vision de Notre Seigneur le 8 novembre 1929

Le 8 novembre 1929, Sœur Amalia a reçu la visite d'un parent désespéré dont la femme était gravement malade et avait été déclarée incurable par plusieurs médecins. Avec des larmes dans les yeux, le pauvre mari demanda; ‘Que va-t-il advenir des enfants?’ Son état de détresse et son désespoir face à la perte qu'il allait bientôt subir avec ses enfants, attristèrent Sœur Amalia en son cœur. Immédiatement, elle se tourna vers Dieu en prière tout en écoutant le triste récit.

Elle raconte une impulsion intérieure l'appelant à rendre visite immédiatement au Seigneur et alla directement à la chapelle où elle présenta ces préoccupations devant Jésus dans le Saint Sacrement. Agenouillée sur les marches avant l'Autel et le Tabernacle, elle tendit ses bras et s'offrit en substitution pour son parent. ‘Si plus aucune possibilité de récupération n'existe pour la femme de T… alors je suis prête à offrir ma propre vie pour la mère de famille. Que voulez-Vous que je fasse?’

C'est alors qu'Amalia rapporte que Jésus Lui-même parla: ‘Si vous souhaitez recevoir cette grâce, demandez-la-moi au nom des larmes de Ma Mère.’

Amalia demanda: ‘Comment dois-je prier?’

Jésus lui dit alors les invocations suivantes : ‘O Jésus, écoute notre prière à cause des larmes de Ta Très Sainte Mère !’ ‘O Jésus, vois les larmes de celle qui T’a le plus aimé sur terre et qui T’aime avec la plus grande ardeur au ciel !’

Sœur Amalia rapporte que après lui avoir donné ces paroles, Jésus a dit : ‘Ma fille, tout ce que les gens Me demanderont à cause des larmes de Ma Mère, Je le leur accorderai avec amour. Plus tard, Ma Mère remettra ce trésor à Notre cher Institut comme un Aimant de Miséricorde.’

II. La Vision de Notre-Dame le 8 mars 1930

Quatre mois jour pour jour, le 8 mars 1930, Sœur Amalia était à nouveau agenouillée devant le tabernacle lorsque la promesse du Rédempteur lui fut accordée. Voici ses propres mots : “J’étais dans la chapelle, agenouillée sur les marches du côté gauche de l’autel, quand soudain je me sentis soulevée. Alors j’ai vu une femme d’une beauté indescriptible s’approcher. Elle portait un vêtement pourpre, un manteau bleu et un voile blanc qui tombait jusqu’à sa poitrine et était drapé sur ses épaules. Elle glissa vers moi en souriant, tenant à la main un rosaire qu’elle appelait ‘corona’ (c’est-à-dire ‘couronne’ ou rosaire). Ses perles brillaient comme le soleil et étaient blanches comme la neige.

‘Sais-tu pourquoi je porte ce manteau bleu ? Pour te rappeler du ciel, quand tu es fatiguée de tes travaux, et portant la croix de tes tribulations. Mon manteau te rappelle du ciel, pour t’apporter une joie indescriptible et un bonheur éternel, et cela donnera du courage à ton âme et paix à ton cœur, pour continuer le combat jusqu’à la fin !’

‘Comprends-tu la signification de ma tunique violette-pourpre ? Je vais te dire que tu devrais te souvenir, en te tenant devant l’image des Larmes, des couleurs que je porte ; le pourpre signifie douleur. La douleur que Jésus a ressentie lorsqu’ils Le frappaient sauvagement sur Son corps. Mon cœur de mère et mon âme étaient aussi lacérés par la douleur à la vue de Jésus.’

‘Mon enfant, je vais t’expliquer pourquoi je porte ce voile blanc autour de ma poitrine et couvrant ma tête. Le blanc signifie pureté, et étant le lis blanc de la Sainte Trinité, je ne pouvais apparaître sans cette blancheur. Le doux sourire que tu vois tracé sur mes lèvres est pour l’immense bonheur d’être capable de donner à l’humanité un trésor si précieux !’

‘Mon enfant, je vais te parler du rosaire que j'ai dans les mains. Je l'appelle la Couronne des Larmes. Lorsque tu es près de Moi et que tu vois ce chapelet entre Mes mains, souviens-toi qu'il signifie miséricorde, amour et douleur... Ce chapelet de mes larmes bénies signifie que ta Mère t'aime. Utilise tous ses privilèges, fais-y appel avec confiance et amour.’

En me remettant le rosaire, Elle a dit : ‘Voici le rosaire de Mes larmes, qui est confié par Mon Fils à Son Institut bien-aimé comme une partie de Son héritage. Les invocations ont déjà été données par Mon Fils. Mon Fils veut M'honorer particulièrement avec ces invocations ; et donc, Il accordera volontiers toutes les grâces demandées au nom de Mes larmes. Ce rosaire provoquera la conversion de nombreux pécheurs, surtout ceux possédés par le diable. À l'Institut du Jésus Crucifié est réservé un honneur spécial : la conversion de nombreux membres d'une secte malveillante à l'arbre 'en fleurs' de l'Église. Par ce rosaire, le diable sera vaincu et le pouvoir de l'enfer sera détruit. Préparez-vous pour cette grande bataille.’

‘Je vais t'expliquer pourquoi Mes yeux sont inclinés vers le bas dans cette apparition. Les peintres inspirés ont représenté Mes yeux levés vers le haut pour chanter la gloire de Mon Immaculée Conception. Alors, pourquoi Mes yeux sont-ils inclinés vers le bas ici, où tu te confies à Mes larmes bénies ? Cela signifie Ma compassion envers l'humanité, car Je suis venue du ciel pour soulager tes souffrances. Mes yeux seront toujours tournés vers tes peines et afflictions, chaque fois que tu demanderas Mon Fils par les larmes que J'ai versées. Et tandis que tu es près de Mon image, vois que je te regarde avec des yeux de compassion et de tendresse.’”

Lorsque la Bienheureuse Vierge eut fini de parler, Elle ne fut plus vue.

III. La Vision de Notre-Dame le 8 avril 1930

Le 30 avril 1930, Notre Dame a révélé à Sœur Amalia la Médaille de Notre-Dame des Larmes.

Médaille de Notre-Dame des Larmes donnée à Sr. Amalia du Jésus Flagellé à Campinas, Brésil.

(À l'avant) Notre-Dame des Larmes comme dans l'apparition avec l'inscription :

“O Vierge la plus affligée, Vos larmes ont détruit l'empire infernal.”

(Au dos) L'image de Jésus lié et flagellé (Ecce Homo) avec l'inscription :

“Par Votre Divine Douceur, Ô Jésus Lié, Sauvez le Monde de l'Erreur qui Le Menace.”

L'évêque Francisco voyageait en Europe au moment de ces visions. Il a assisté à la Passion Play d'Oberammergau et a également rendu visite à la mystique allemande et stigmatisée Thérèse Neumann. Au cours de ce voyage, il a répandu la connaissance des révélations et de la dévotion du Chapelet. Il a aussi parlé d'une troisième vision le 8 avril 1930, dans laquelle la Bienheureuse Mère a révélé une Médaille des Larmes à porter. Des rapports ont commencé à émerger d'innombrables conversions résultant du port de cette Médaille. De plus, des nouvelles sont venues de demandes accordées et de guérisons survenant en raison du Chapelet des Larmes. La pratique de réciter le Chapelet pendant neuf jours, de recevoir les Sacrements et de faire des œuvres de charité a effectivement conduit à nombreuses bénédictions.

En 1934, l'évêque Francisco écrivait : « D'innombrables grâces ont été reçues par la prière du rosaire pour honorer les larmes de notre chère Dame. La raison en est la promesse du saint Sauveur, 'aucune faveur ne sera refusée lorsqu'elle lui est demandée au nom des larmes de Sa Très Sainte Mère.'

Il est bien connu que le Saint Sauveur récompense d'une manière spéciale la sincère révérence pour les douleurs de Sa Très Sainte Mère, qui sont seules la cause de Ses larmes. De plus, en Allemagne, aux Pays-Bas et en Belgique, beaucoup rapportent des faveurs extraordinaires et des grâces. Ils priaient le rosaire de Notre-Dame des Larmes quotidiennement pendant neuf jours, recevaient les saints Sacrements et accomplissaient des œuvres de miséricorde.

Des religieux nous font comprendre que la prière de ce rosaire est une très chère habitude à laquelle ils attribuent des grâces extraordinaires. Pour cette raison, ils le prient quotidiennement souvent pour demander des grâces pour eux-mêmes et les autres, la conversion des pécheurs, hérétiques et athées, obtenir des grâces pour les prêtres et missionnaires, aider les mourants, et libérer les âmes du Purgatoire.

Une âme croyante et pieuse, à qui le bien de la sainte Église et l'honneur de Dieu tiennent à cœur, sait sans guidance spéciale ce qu'elle peut obtenir et obtiendra de notre gracieux Rédempteur par les larmes de Sa Très Sainte Mère.

Lorsque la tristesse et la souffrance remplissent notre cœur, nous dirigeons nos pensées vers Dieu. Par les larmes de Marie, Sa Très Sainte Mère, nous adoucissons le cœur de Dieu, même s'il est toujours prêt à nous accorder bonté, grâces et bénédictions.

Actuellement, il semble que les bienheureuses larmes de la Mère de Jésus soient particulièrement puissantes pour gagner le cœur de Dieu.”

Il existe d'autres exemples de visions de Notre-Dame versant des larmes, y compris La Salette en 1846 et les incidents à Syracuse en 1953. À La Salette, la Vierge a été vue pleurant pour l'humanité tandis qu'à Syracuse une image en terre cuite de Notre-Dame exhibait des larmes. D'énormes foules ont témoigné du miracle, ce qui a conduit le Pape Pie XII à déclarer avec émerveillement : ‘O les Larmes de Marie !’

¹ Le Mystère pascal (latin mystérium paschále, « mystère de Pâques », du grec ancien πάσχα pás-cha « Pâques » et μυστήριον mystérion « mystère ») est central à la foi catholique et à sa théologie concernant l'histoire du salut. Selon le Compendium du Catéchisme de l'Église Catholique, "Le Mystère pascal de Jésus, qui comprend Sa passion, Sa mort, Sa résurrection et Sa glorification, se trouve au centre de la foi chrétienne parce que le plan salvateur de Dieu a été accompli une fois pour toutes par la mort rédemptrice de Lui-même en tant que Jésus-Christ." Le Catéchisme affirme qu' "en liturgie de l'Église c'est principalement Son propre Mystère pascal que Christ signifie et rend présent."

Chapelet des larmes de la Vierge (de sang)

À côté du très précieux sang de Jésus, il n'y a rien de plus touchant et de plus efficace que les larmes de notre Mère céleste ! Combien de larmes a-t-elle versées sur le chemin de croix et lorsqu'elle se tenait sous la croix ! Elle a versé des larmes amères en réparation des nombreuses insultes que son Divin Fils recevait alors et qu'il recevrait à l'avenir. Elle a versé des larmes amères pour les nombreuses âmes qui ne se soumettraient pas aux commandements de Dieu et qui seraient ainsi perdues à jamais.

Au cours des derniers siècles, elle a également versé des larmes de tristesse : Le récit des apparitions de Notre-Dame de La Salette le 19 septembre 1846 est très émouvant, tout comme le récit des larmes de Marie à Syracuse.

Là, l'image de la Vierge a pleuré encore et encore à partir d'une simple plaque de terre cuite dans la maison d'un pauvre ouvrier, du 29 août au 2 septembre 1953. Après une enquête approfondie, les évêques de Sicile, en Italie, ont confirmé ce miracle des larmes. Des centaines de milliers de personnes sont venues le voir et le pape Pie XII s'est exclamé à la radio : « Oh les larmes de Marie ! »

Le rosaire ou le chapelet a été révélé en 1929 et 1930, par Notre Seigneur et sa très sainte Mère à Sœur Amalia à Campina, au Brésil, et a été confirmé comme surnaturel par l'évêque Campos Baretto.

Les paroles de Notre Seigneur à Sœur Amalia le 8 novembre 1929 étaient :

« Ma fille, tout ce qui me sera demandé à travers les larmes de ma Mère, je le donnerai avec amour ».

Le 8 mars 1930, la Mère très pure a déclaré :

"Grâce à ce rosaire, le diable sera soumis et le pouvoir de l'enfer sera détruit. Préparez-vous à ce grand combat."

Aujourd'hui, le diable a beaucoup de pouvoir parce que nous avons oublié le péché et ne croyons plus que Satan existe.

Comment prier le chapelet de larmes

La couronne (ou chapelet) que la Mère de Dieu a donnée à Sœur Amalia comportait 49 perles blanches, divisées en groupes de 7 par sept perles également blanches. Elle est donc similaire à la Couronne des Douleurs de Marie, bien que de couleur différente. Elle avait également trois perles finales et une médaille avec l'image de Notre-Dame des Larmes - d'un côté - et l'image de Jésus enchaîné - de l'autre côté. La médaille est un élément essentiel de cette couronne et doit être exactement comme celle que la Sainte Mère a montrée à Sœur Amalia à Campinas le 8 avril 1930.

Le Chaplet peut également être prié avec un chapelet ordinaire si vous n'avez pas le chapelet spécial, sauf que vous priez sept dizaines.

Notre Dame a demandé à plusieurs reprises de prier avec ses larmes de sang. C'est pourquoi il existe deux versions de ce chapelet. Une version s'appelle le chapelet des larmes, l'autre le chapelet des larmes de sang. Les deux versions sont identiques, sauf que l'on utilise « larmes de sang » au lieu de « larmes ». Le mot supplémentaire est donc mis entre crochets.

Ordre des prières

(1) Au début

Nous voici à tes pieds, ô très doux Jésus crucifié, pour t'offrir les larmes de celle qui, avec tant d'amour, t'a accompagné sur le douloureux chemin du Calvaire. Accorde-nous, ô bon Maître, de savoir profiter de la leçon qu'elles nous donnent, afin que sur Terre, en accomplissant ta très sainte volonté, nous puissions un jour, au Ciel, te louer pour l'Éternité.

(2) Sur les grandes perles (*)

V. Ô Jésus, souviens-toi des larmes [de sang] de celui qui t'a le plus aimé sur terre, (
R. et qui t'aime maintenant avec le plus d'ardeur au Ciel.

(3) Sur les petites perles (*)

V. O Jésus, exauce nos supplications et nos demandes (
R. par les larmes et les douleurs de ta très sainte mère et par le très précieux sang.

(2) À la fin, répétez trois fois (*)

V. Ô Jésus, souviens-toi des larmes [de sang] de celui qui t'a le plus aimé sur terre, (
R. et qui t'aime maintenant avec le plus d'ardeur au Ciel.

(4) Prière de clôture

Heiligste Jungfrau und Mutter der Schmerzen, wir bitten Dich, Deine Gebete mit unseren zu verbinden, damit Jesus, Dein göttlicher Sohn, an den wir uns im Namen Deiner mütterlichen Tränen wenden, unsere Gebete erhöre und uns mit den Gnaden, die wir ersehnen, die Krone des ewigen Lebens gewähren möge. Amen.

(5) Jaculatoire final

(à prier en contemplant et en embrassant la médaille)

Par ta divine douceur, ô Jésus enchaîné, sauve le monde de l'erreur qui le menace ! Ô Vierge très douloureuse, tes larmes [de sang] ont renversé l'empire infernal !

(*) Prières élargies

Dans un message adressé à Mario D'Ignazio à Brindisi, la Vierge a demandé que les prières soient dites sous une forme élargie par rapport aux prières originales.

Message de Notre-Dame des larmes à Mario D'Ignazio du 24 juillet 2024

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